L'anecdote que je vais vous raconter date un peu, mais que voulez vous, il m'a fallu du temps pour me rappeler que ça faisait partie de mes devoir de maîtresse de blog de l'alimenter de temps en temps...En effet, ce dont je veux vous entretenir ce soir
(c'est débile de dire ce soir, si ça se trouve vous lirez ça un matin. Ben ui eh !) date du ouikende du 25 au 26 mars. Pas la peine de pousser les hauts cris, vous êtes ridicules et puis d'abord j'assume. Après tout, puisque je peux faire ce que je veux avec mes cheveux, pourquoi n'en serait-il pas de même avec mon beulog ? Hein, je vous le demande !
Bref, c'était le ouikende du 25 au 26 mars, et, comme les plus perspicaces d'entre vous s'en souviennent sans doute, c'était le passage à l'heure d'été. Et comme sous mes apparences d'incroyable rebelle qui refuse le joug de société
(qui nous opprime mon frère, yo yo, il faut rompre les barrières ! Han ! Han !) je suis en fait quelqu'un de très coopératif et j'ai, moi aussi, comme vous (eh oui, comme quoi...) retardé...avancé ? Merdum, chais déjà pu. Bref, j'ai changé l'heure de l'horloge de la cuisine.
Pour ce faire, j'ai décroché d'un geste preste et délié l'horloge, l'ai faite choir avec un brio tout égal ("Oh mierda a marche pu, les zigouilles a bougent pu !! - Claire... - Hm ? - La pile est là bas - Han merci...Hem.") puis l'air vachement naturel, genre "nan spa moi qu'ai pété l'horloge y a quelques secondes" je me suis rendue dans le salon accompagnée de l'horloge dont la pile avait été duement réintroduite dans le réceptacle prévu à cet effet* pour aller demander l'heure à Hector (c'est à dire mon pécé. Oui je donne un nom à mon pécé. Et arrêtez de me traiter de sale geek, d'abord c'est çui qui dit qui y est). Je débarquais donc fringante dans le salon, quand soudain, je m'arrête, l'air interloqué, balayant la pièce du regard :
"M'enfin depuis quand y a un truc qui fait tic tac dans cette pièce qui comporte quatre ordinateurs ??"
Et là j'ai baissé les yeux sur l'horloge que j'avais à la main et...
Soyez gentil, lectorat bien-aimé (mais si mais si) : cotisez-vous pour m'acheter un nouveau cerveau
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* Je crois que j'ai un avenir dans la rédaction de formulaires adminstratifs moi. -__-