29 juillet 2005

Pfff, spa facile de trouver un titre à chaque fois !

Est-ce que vous connaissez ce truc machin "art.com" qui permet de dessiner en ligne et de montrer son oeuvre à ses amis du monde entier pour lancer sa carrière artistique internationale ? C'est un...euh...logiciel ? Un truc machin quoi ousque vous faites votre dessin et les gens après ils voient le truc se refaire sous leurs yeux (ouais, c'est la classe.) Vous pouvez voir celui que j'ai barbouillé (spa facile à la souris) ici

28 juillet 2005

Interlude scientifique

Qui a dit que je n'avais pas l'esprit scientifique !
Moi ?
Ah bah oui mais dans ce cas ça compte pas, ça devait juste être mon autre personnalité qui vous a raconté des conneries...En fait ça dépend de l'heure à laquelle j'ai dit ça. Nan parce qu'on fait un roulement avec mes personnalités en fait, quatre heures chacunes et...Hem, bref, je m'en vais, il est l'heure de la relève.
Toujours est-il que l'abruti qui a dit ça était...un abruti (mon lexique a subi de lourdes pertes je crois...ça m'apprendra à regarder Un, Dos, Tres trois jours de suite tiens, chuis sûre ça ronge le cerveau c'te connerie ! Ca c'est la faute à Froddy...Tsss, celle là j'te jure, elle fait rien qu'à me dévoyer du droit chemin avec ses influences néfastes et corruptrices.)Enfin, tout ça pour dire que c'est tout à fait faux : j'ai l'esprit scientfique. Parfaitement. Ca se voit pas au premier abord, mais en fait, je passe mon temps à tout expérimenter, à m'interroger sur le fonctionnement profond et la mécanique des choses du quotidien. Et parfois je tire des conclusions merveilleuses qui font avancer la science d'un grand pas (comme celle-là par exemple)
Eh bien aujourd'hui, avec Froddy, qui ne fait pas que me dévoyer du droit chemin en me faisant regarder "Un, Dos, Tres" mais qui peut également servir de compagnie à la piscine (le Froddy est multi-usage, c'est bien, mangez en) nous avons développé un concept scientifique très poussé et très....bon, d'accord, très con, mais d'une logique désarmante car.......oui bon, d'accord, con.
Le truc c'est que, regardez : l'eau de la piscine, celle du fond, elle est plus froide que celle du dessus. Bon. Et pourquoi ça ? Parce qu'elle est moins proche du soleil, puisqu'elle est au fond. Bon. Alors pourquoi est-elle au fond ? Bah c'est simple, c'est parce qu'elle est tassée. Bah oui, par définition, l'eau qui est en en dessous est tassée par l'eau qui est au dessus, ça tombe sous le sens ! Et donc, si elle est tassée, logiquement, elle est plus dense, c'est pour ça qu'elle coule et qu'elle est au fond...Et si elle est plus dense...bah c'est qu'elle est plus froide ! Ah vous, voyez ! C'est dingue ça quand même !

24 juillet 2005

Nous, les femmes

(Prononcez "femmes" "ffhhâââmes" vous savez, genre avec une majuscule de noblesse et des accents circonflexes bourgeois, comme font les politiques à la télé lors de grands rassemblements pour sauvegarder les droits des "fffhhhââââmes", justement.)
Nous, les femmes, disais-je dans ce titre choc (genre un titre choc), nous sommes connues et réputées pour notre solidarité, notre cohésion à toute épreuve, parce que vous comprenez, toutes les femmes ont les mêmes problèmes, les mêmes aspirations et les mêmes revendications, quel que soit leur milieu social ou leur pays. Les femmes forment une grande communauté, semble-t-il, soudée par la légendaire "solidarité féminine" qui sert essentiellement : à éliminer le dernier candidat masculin au Maillon Faible quand il est trop fort sans avoir à s'avouer minable ou chercher une raison valable pour l'expulser, à dire du mal des ex des copines lors de soirées pyjama en se bourrant la gueule à la Clairette de Die, à se soutenir lors de la rude épreuve des soldes chez H&M, à compatir aux règles douloureuses et aux problèmes d'épilation... en somme, à tout plein de graves problèmes de société pas futiles pour un sous.
Eh bien moi comme vous aurez pu le relever à mon ton quelque peu sarcastique dans le paragraphe précédent, la "solidarité féminine", j'y crois moyen. Moyen moins, même. Moyen moins, tendance bof pour tout dire. La preuve la plus flagrante étant ma classe, entièrement féminine, où l'on ne peut pas dire que la solidarité soit le mot d'ordre pour autant. C'est pourquoi ce soir, je ne me gènerai pas pour me faire haïr par une majorité de mon lectorat féminin et pour me payer le luxe cruel par les temps qui courent d'annoncer avec un détachement qui pourra en énerver plus d'une (et ce sera fait exprès :D) que j'ai maigri de 2 kilos et que ça ne me réjouit pas particulièrement puisque du coup je pèse...45kg. Oui oui, lectrices incrédules, vous avez bien lu, j'ai maigri, rêve innateignable de bien d'entre vous et je m'en benne les cacahuettes, au nez et à la barbe de toutes celles qui en chient des courgettes et du poisson à la vapeur pendant des mois pour perdre un kilo qui ne change finalement rien à l'affaire.
Pour tout vous dire (oui, j'en rajoute une couche...) c'est limite si ça m'emmerde pas ces deux kilos en moins là, si si. En même temps, vous avouerez que 45 kg, c'est pas des masses non plus...
Mais là je vous vois venir !
Alors pour éviter tout de suite les commentaires allarmés : NON je ne suis pas anorexique, OUI je mange normalement et à ma faim, NON je ne me prive pas, c'est juste que je suis comme ça : "petite" (1m60) et mince. Et je crois que le "pire" dans tout ça, c'est que non seulement je suis maigre pas exprès mais qu'en plus...je ne complexe même pas...Oui oui, vous avez bien lu. C'est un scandale hein ? Je ne suis pas foutue de me trouver tous les défauts du monde comme savent pourtant si bien le faire les gens comme il faut. Aucun savoir vivre, pas foutue de savoir tout le temps se plaindre d'un nez de traviole, de cuisses trop dodues, de seins trop plats, de fesses qui ont le malheur d'être deux ou encore de je ne sais quel trait de caractère handicapant. Je ne suis pas parano, je suis ne suis pas schyzo (qui moi ? non toi ! ah ! moi ! bah oui toi ! ah bah oui, moi je suis pas schyzo, par contre l'autre là, j'ai des soupçons...) je ne suis pas maso, je ne suis pas hypocondriaque, je ne suis pas maniaque, je ne suis pas névrosée, je ne suis pas psychotique...
En fait, je me demande si je n'ai pas un grave problème psychologique tout compte fait : je me rends compte que je n'ai aucun complexe... C'est grave docteur ????


(de toutes façons, ça se voit même pas que j'ai perdu 2 kilos alors...)

23 juillet 2005

De retour

Eh oui, me voici (presque) reviendue (je suis encore chez mes grands parents, c'est pourquoi je ne suis pas de nouveau 24/24h devant mon pécé). En effet, je suis de retour de mon stage de cheval de trois jours, relativement éprouvant (sur le papier : 3h d'équitation par jour. Dans la réalité : 5h...)mais bon, quand on aime on ne compte pas.
J'en rapporte :
  • Un bronzage qui sera du plus bel effet en maillot de bain, le bronzage "équitation" : marque du débardeur, mais aussi, détail raffiné qui saura vous distinguer : marque des gants :S
  • Des courbatures abominables (mais qui sont, heureusement, atténuées maintenant, c'est à dire trois jours après la fin du stage)
  • 4 gamelles de plus à mon actif, dont deux vachement sympas : une dans un obstacle (qui m'a fait gagner un joli bleu sur la cuisse) et une autre sur le cross, c'est à dire pas dans le sable de la carrière mais bel et bien sur un sol en dur...J'aurais bien aimé que le sieur Rémouche assiste à ces deux là pour voir s'il aurait conservé son jugement suivant lequel "le cheval, c'est pas dangereux"...(oui, je sais, c'est de la rancoeur bête et méchante car il a déjà révisé son jugement, mais c'est aussi pour ma mauvaise foi que vous m'aimez non ? Ah bah c'est dommage alors...)
  • Une maitrise en massage à la pomme de douche contre les courbatures
  • Un ongle de pouce bien pété (vous savez, fendu au niveau de la viande...)
  • Et enfin, un presque galop 6. J'ai tout, sauf l'obstacle qu'il faudra que je repasse un jour. Mais ça doit pas vous parler des masses "galop 6" comme niveau...Bah pour vous situer, je vous dirai que le niveau requis pour être moniteur, c'est le 7. Vala.
Et pis sinon, je pense être de retour chez moi ce soir, ce qui me permettra de vous écrire d'autres conneries à pas d'heure, comme au bon vieux temps, avant que je sois toute déréglée et me couche à 23h pour me lever à 8h comme ça a été le cas ces derniers jours.

Hmmm...c'était pas très très intéressant comme post ça...Bah on va dire que c'était pour pas que vous vous inquiétiez et que vous soyez bien sûrs que je sois pas mourute. Comment ça c'est plutôt l'inverse qui est inquiétant ?? Mais je ne vous permets pas ! Bande de vous !

16 juillet 2005

Ca se bouffe pas !!!

Ca se becte ! (allons, surveillez un peu votre vocabulaire que diable !) Ou ça se boulotte, comme vous préférez je ne suis pas contrariante aujourd'hui (oui, juste aujourd'hui, c'est une promotion exceptionnelle, non cumulable avec d'autres avantages ou autres promotions en cours, aujourd'hui sur votre blog préféré (mais si, mais si) et aujourd'hui seulement, profitez-en !)...
Mais d'après Jean-Pierre Coffe, ça se mange sur France Inter.Bah oui, c'est lui qui le dit : "ça se bouffe pas, ça se mange"
Mais connaissez-vous cette émission ou ledit Jean Pierre nous parle tous les samedis que dieu fait (avec une régularité sans égale qu'il faut quand même bien reconnaître et admirer) avec une passion vibrante dans la voix de l'amour de sa vie : vraie bonne nourriture frrraaançaise ? Non ? J'avais prévu que vous seriez incultes : cliquez donc là, bande de vous
Honnêtement, je suis sûre que si des étrangers tombent sur cette émission, ils sont morts de rire ! C'est tellement le cliché ! Le type au caractère pourri qui parle avec passion de la façon dont on fait cuire le gras de jambon dans la Creuse...En tous cas, moi ça me fait bien marrer cette émission (et pis aussi pour la façon dont parle Jean Pierre Coffe, faut bien le dire)
Mais aujourd'hui c'était particulier. En effet, ça parlait du bouchon.
Oui, "le bouchon", le bouchon en général, le concept de bouchon. Et plus précisément du bouchon de liège et des effets désastreux qu'il peut avoir sur le pinard sacré à qui il donne un horrible gout de....bouchon. Voilà, vous avez tout saisi.
Cette émission était tout simplement passionnante. Les 5 premières minutes ont servi à expliquer aux auditeurs (à ces crétins d'auditeurs je dirais même) que le bouchon, sert, eh oui, à boucher la bouteille. Ensuite, on s'est intéressé au bouchon de plus près, en expliquant qu'il y en avait de toute sorte, du bouchon traditionnel au bouchon de la Nasa en matériau innovant composite et surentraîné.
Et je ne sais pas ce qui m'a fait le plus rire...L'édito qui annonçait sur un ton alarmé les statistiques effarantes qui montraient que chaque année je ne sais plus combien de milliers de bouteilles était frappées de la malédiction du bouchon et avait ce goût de linge mal séché tout dégueu "et ce juste en France !!" (je sais pas si vous vous rendez vraiment compte du drââme) ou alors le ton sur-sérieux des invités (des mecs qui bossaient dans l'industrie du bouchon hi-tech).
Le mieux, c'est encore que vous l'écoutiez ! :D

12 juillet 2005

Bon

(ouais, des fois j'ai pas d'idées de titre)
Pisque vous avez été sages, je vous poste un truc vite fait qui me sert de fond d'écran en ce moment et....voilà. (Parce que je sais aussi bloguer court)
Photo Hébergée gratuitement par Web-Images.org

11 juillet 2005

Ma vie est trépidante

Du nom latin "pedis" qui signifie le pied et de "tres, trei" (:P alix et Solenne si vous me lisez...) qui signifie comme chacun le sait "trois", "trépidant" signifie donc "qui est en train d'avoir trois pieds". En effet, le suffixe "ant" marque que l'action est dans son déroulement. Ma vie est donc en train d'avoir trois pieds et moi je suis en train de raconter n'importe quoi à 03h08, heure locale.
Heure locale, c'est à dire heure du pécé. Dans mon horloge interne il est 01h. J'ai regardé dans mon agenda, je suis réglée sur le fuseau horaire de l'Argentine (ou de la partie Ouest du Groënland, mais vous me voyez vraiment vivre au Groënland ? Non hein ?)Enfin c'est cool, je voyage à peu de frais.
Vous aussi vous voulez réaliser cette expérience incroyable sans allonger la monnaie ? Je vous reconnais bien là, ami lecteur...Alors déjà on va se tutoyer parce qu'à 3h du mat' je vouvoie plus personne, ensuite tu n'as qu'à suivre mes conseils avisés : déjà, il faut que tu sois en vacances ami lecteur. Parce que sinon tu peux pas sentir la vibe du dépaysement qui fait pia pia pia dans ton corps tu comprends. Ouais, le mental est grave important, comme tu dis. Ensuite, il faut que tu commences par veiller un soir jusqu'à 2h du mat'. Tu vas voir, ça se fait très facilement, il suffit que tu te poses devant ton pécé, que tu joues à des jeux crétins (genre buter des pinguins en crachant dessus avec un lama) ou que tu aies une discussion achement passionnante avec un noctambule de qualité (tiens, au pif : moi). Tu vas voir à 2h tu seras très mort mais ça veut dire que ça marche. Tu vas alors te coucher pour dormir du sommeil du brave. Et là, c'est le moment fatidique où la mayonnaise monte ou retombe comme une vieille merde au fond du bol enfin au fond du lit plutôt puisque c'est de ça qu'il s'agit. Donc là, lecteur chéri (je me fais affectueuse moi passé une certaine heure, c'est bon à savoir...), surtout il faut que tu te lèves tard. Midi ça ira très bien. Si tu veux 11h30 mais je descendrai pas au dessous, faut pas non plus me prendre pour ce que je suis pas hein. Donc tu te lèves tard. Et là, c'est la magie de la technique Salamandrique brevetée: comme tu t'es levé tard, lecteur d'amour, tu n'as sommeil que tard. Bah oui.
Bon, pour les sceptiques matheux du fond qui sont pas convaincus et font les chochotes : regardez, admettons qu'en temps normal vous fassiez un truc genre 10h-23h (je parle d'un temps normal de vacances hein...), ça vous fait une autonomie de batterie de 13h. Bon. Et donc, si vous vous levez à 12h, en gardant la même autonomie de batterie (je vois pas pourquoi vous auriez changé entre temps à part pour me faire chier, mais si vous avez fait ça vous êtes méchants et je vous chasse à coup de pieds dans l'url de mon blog. Et je vous déshérite aussi tiens, pisque c'est ça) Merde, j'en étais où ? ah oui. Si vous vous levez à 12h donc, ça vous fait vous coucher à 1h du mat', en toute logique. Bon, vous voyez ! Mais comme vous êtes des lecteurs coopératifs (puisque j'ai chassé les autres dans la dernière parenthèse) vous serez bien prêts à faire un petit effort. Donc tu fais un petit effort, et tu te couches à 3h cette fois. Tu vas voir c'est pas bien plus difficile...Et tu continues à ce rythme là pendant plusieurs jours (et tu deviens pro en pinguins, yétis et autres jeux nécessitant 2 neurones au joueur). Et tada, au bout d'un certain temps tu te couches de toi même à 5h du mat' (tu vas voir, c'est très rigolo d'entendre les piafs se mettre à chanter quand tu te pieutes) et tu continues à te lever à 12h30. Seulement qu'à 12h30 t'es persuadé qu'il est 9h3O, comme à Buenos Aires ! Voilà, tu l'as ton voyage pas cher !
Et va pas dire que t'as que les inconvénients hein : t'as pas la tourista, te plains pas.

07 juillet 2005

And the winner is !

Bon eh bien mes coco, je n'ai qu'une chose à dire :
au moins, on peut pas dire, je suis régulière. Bon ok, à part les maths mais je vous merde

06 juillet 2005

Bank of Boston Beauty Queen

C'est le titre de la chanson des Dresden (qui décidément sont une grande source d'inspiration ^^) que j'ai illustré dans ce dessin qui m'a pris beaucoup de temps à mettre en couleur. Vala.

Libellés :

Ah émessenne, que ferai-je sans toi ! (Réponse => autre chose)

Image hébérgée par hiboox.com

03 juillet 2005

Intermède gastronomique

Le plus dur avec la glace, c'est pas de la choisir parmi une multitude de parfums plus alléchants les uns que les autres, non, ça ça va on s'en sort généralement; c'est pas non plus de ne pas briser la chaîne du froid et de la ramener intacte chez soi, non, ça on le fait fastoche (parce que personne ne sait quand est-ce qu'elle est brisée ou pas, la chaîne du froid. Si vous vous savez, vous êtes gentils et vous faites comme si vous saviez rien, merci.); c'est pas non plus d'ouvrir le bac, les concepteurs de bac de crème glacées ont fait d'énorme progrès en la matière, surement sous la pressions de maniaques dépendants qui prenaient des crises graves en n'arrivant pas à retirer l'opercule protègeant la denrée si chère à leur coeur; ce n'est pas non plus de réussir à faire des belles boules bien rondes, ça on s'en fout, en boule ou en tas informes faits à la cuillère à soupe, au fond, la glace elle a le même goût; non, la chose qui est vraiment technique avec la glace........
c'est de pas s'enfiler le bac d'un litre à soi tout seul...
Je suis d'ailleurs actuellement en pleine lutte avec mon subconscient qui cherche à me pousser au vice et à achever les souffrances de ce malheureux bac de crème glacée à la crème brûlée avec nougatine croustillante qui gît dans mon congélateur...Aidez moi à ne pas sombrer je vous en supplie...

Grabouille

Attention les gens ! Ce dessin n'est pas rouge...
En fait, pour tout vous dire, ça m'étonne un peu que j'ai fait ce dessin. Déjà le sujet n'est pas un thème récurrent chez moi puisqu'il s'agit d'un truc fantastique et puis même l'ambiance n'est pas du tout du même genre que ce que je fais d'ordinaire...
Mais malgré tout je suis satisfaite du résultat, pour une première colo "sérieuse" (c'est à dire qui ne soit pas seulement du remplissage comme j'ai pu le faire jusque là. Je ne compte pas le cheval de l'autre fois, c'était vraiment du vite fait.) sur photoshop.
Donc tatsoin, voilà l'objet :

Libellés :

02 juillet 2005

Encore un...

Oui, encore un roman photo mais cette fois il met en oeuvre Caro et moi même dans une pub pour une marque que nous ne citerons pas ici (parce que c'est pas la peine : elle est citée dans le roman-photo).
Oui, j'aime faire des trucs cons, oui ça m'éclate, non je n'ai pas honte d'être si débile parfois.
J'aime Tanar !!

L'épopée du maillot de bain

Ce post date en réalité d'avant celui avec le roman photo mais comme je l'ai dit dans ce dit post, je me suis interrompue parce que j'avais du mal à cumuler écriture de post passionnant et marathon guimauve. Ce qui est raconté ici date donc pas mal (avant-hier si je ne m'abuse) mais bon, vous m'en voudrez pas hein...
Ah oui, un dernier truc : préparez un duvet et des chips pour camper devant votre écran : ce post est long

Ca y est, le marathon est lancé je suis en plein dedans, mais comme je ne suis qu'à la troisième écoute j'ai les neurones encore intacts. Je peux donc malgré tout vous raconter la fantastique épopée qu'a été notre virée en ville d'hier à ma mère et moi, parce que y a des fois, on a l'impression qu'on vit dans une comédie à la Bridget Jones (avec Hugh Grant en moins *soupir*...) tellement les gags s'enchainent.
Déjà, "on va en ville ma mère et moi", ça promet : quel que soit le but de notre excursion, quelle que soit la météo, quel que soit l'endroit, on trouve quelque chose de marrant à faire. Mais hier, c'était, particulier, performance unique juste pour vos yeux, ce soir dans votre ville, et ce soir seulement.
On voulait :
  • aller à la fnac pour profiter des bons d'achats dont on pouvait profiter jusqu'au 30
  • m'acheter un maillot de bain puisque c'est les soldes et qu'il m'en faut un.
    La première étape de la mission n'était pas difficile : il suffit de rentrer dans la fnac pour avoir envie de tout acheter. Mais la deuxième étape est bien plus technique. En effet, au niveau du maillot de bain, je suis très chiante (comment ça, "pas qu'à ce niveau là" ?). J'en veux un plutôt uni mais pas trop, avec un peu des motifs mais pas trop, simple mais pas tout con, pas spécialement à la mode (parce que la mode, souvent, c'est moche) mais pas mémé non plus...un qui me plaise quoi :D Et un à ma taille, ce qui n'est pas toujours aisé parce que tous les magasins n'habillent pas les crevettes. Mais ma mère est une femme au grand coeur et elle supporte de faire du shopping avec moi et mon exigence,
    Nous prenons donc nos vélos après avoir reçus les recommandations du petit ami de ma mère "faites pas trop de bêtises". Le ciel est couvert tendance menaçant mais on s'en fout, il faut qu'on utilise ces bons d'achats, merde quoi, on ne peut pas faire cette offense au dieu Fnac. Donc bon, on pédale, on pédale, rien de bien transcendant jusque là, on arrive à la Fnac, on y achète tout plein de machins dont la liste exhaustive ne doit sûrement pas vous interesser et on se dirige vers la caisse. On en a pour plus de 100€ et seulement 30€ de bons d'achat mais bon, c'est pas grave...Et là, on commence à partir à la quête du maillot de bain.
    On s'arme de courage et après une grande inspiration, ma mère propose d'aller aux Galeries Lafayette et nous nous dirigeons dans la direction dudit magasin d'un pas déterminé et conquérant. Direction le rayon maillot, nous sommes efficaces et c'est presque si on ne calcule pas la trajectoire la plus directe. Et là, quelque chose d'inquiétant se produit : ma mère en repère un, il dépasse très légèrement du présentoir, comme pour faire signe; elle me le montre : il me plaît. On se regarde d'un air inquiet : c'est anormal que ça soit le premier vu qui me plaise directement, normalement on aurait dû remuer au moins 5 magasins de fond en comble avant que, de guerre lasse, j'en trouve un moins pire que les autres.
    Coup d'oeil à l'étiquette...putain !! C'est ma taille...On lève les yeux l'une vers l'autre : l'angoisse que je lis dans ses yeux doit se refleter également dans les miens...Nos yeux se rivent à nouveau sur l'étiquette que nous lisons plus attentivement cette fois : mon dieu, il est soldé =>17€50. Le bilan est plus qu'inquiètant : ce maillot me plait, n'est pas cher et à ma taille et pour aggraver le tout, c'est le premier que nous avons repéré...Quelque chose d'atroce va se passer, c'est obligé...Mais il nous reste un espoir : peut-être qu'il ne me va pas.
    Pour essayer de contrer la malediction, ou du moins de l'atténuer, nous regardons quand même les autres modèles, des fois qu'on en voit un mieux, ce qui romprait le maléfice. Mais à part nous faire pouffer de rire devant les horreurs exhibées ici (le sommet étant à mes yeux le maillot de bain marron avec une espèce de ceinture à boucle sur la culotte, ladite boucle étant en plastique doré déjà écaillé...) ceci n'aura pas eu une grande utilité...C'est donc avec une appréhension tendue que nous nous dirigeons vers les cabines, nous raccrochant à l'espoir d'une coupe mal étudiée qui nous permettrait de fustiger le maillot et ses concepteurs, de le remettre dans les rayons d'un air dégouté et un peu déçu et de rentrer chez nous sans maillot, certes, mais indemnes. Quand une cabine se libère, une boule d'angoisse s'installe dans ma gorge et c'est avec d'une main tremblante que je ferme le rideau. Horreur : il me va. Bien même. Je montre l'étendue des dégats à ma mère. Elle prend un air résigné et je sais qu'elle a raison et que c'est la seule attitude à adopter face à la gravité de la situation : c'est le Destin qui en a voulu ainsi, et nous ne pouvons que se plier à sa volonté *. Nous nous dirigeons vers les caisses en répétant, incrédules : "la bonne taille...joli...pas cher...". Dans la queue nous commençons à envisager les catastrophes qui peuvent nous tomber sur la gueule à partir de maintenant. Nous pensons que la grêle sur le coin de la gueule est l'hypothèse la plus probable parce qu'en tong et à vélo c'est quand même vachement fun...oh oui !!!Un concours de t-shirt mouillé !! Ou alors une pluie de grenouilles ? Ah, c'est notre tour de payer.
    Bip => 17.50€.
    Bip =>total : 42.50€.
    ...
    On vient de comprendre l'astuce : ceci est un maillot de bain deux pièces et nous n'avons regardé qu'une seule des deux étiquettes. D'imaginer nos gueules fait naître un fou rire que l'on réprime tant bien que mal en payant le fameux objet et nous sortons vite du magasin pour pouvoir extérioriser la crise de rire qui nous secoue.
    Et là, ça commence (oui, je sais, pas trop tot): il pleut en effet ; et pas qu'un peu d'ailleurs, ce qui n'est pas pour calmer notre fou rire. On attend un peu, maman allume une clope : ça ne passe pas pour autant, ça n'est pas en fumant une bête clope devant les galeries qu'on enraye la machinerie implacable du Destin. On décide donc de quérir nos vélos malgré tout et on se met en route. Commencent alors à souffler des bourrasques de vent pas croyables qui me précipitent un parapluie échevelé dans les pieds. Je manque de me péter la gueule mais continue malgré tout après m'être dépêtré du machin informe et détrempé et c'est à ce moment que ma mère glisse et se pète bel et bien la gueuele, elle. Mais pourquoi des dalles si lisses ? Ils pourraient prévoir le port de tongs sous la pluie... On arrive aux vélos : bien évidemment, la selle est trempée. C'est vrai que jusque là on avait que les pieds et le bas du pantalon complètement mouillés, c'était dommage de pas avoir aussi le cul mouillé, c'est tellement plus classe. Après avoir fait "splouitch" sur la selle, nous commençons à braver la pluie et les bourrasques et constatons avec une joie sans égale que youpi, y a des bouchons de partout, on est obligées de se faufiler tant bien que mal, ce qui n'est pas aisé parce que moi, avec mes 50 kilos en comptant le vélo, je me fais déporter par le vent. Je me suis même payé un trottoir comme ça. On a aussi eu droit aux bouts de branches qui s'envolent : "tiens, c'est drôle, ma sonnette elle a fait "chting" mais c'est pas moi qui l'ai fait...", aux flaques qui éclaboussent les petons quand on passe dedans mais on regrettera vivement l'absence de la pourtant indispensable bagnole qui passe à proximité et t'éclabousse bien comme il faut de la tête au pied. Dommage, très dommage...Pas de grêle non plus...Mais ça c'est parce qu'on s'est fait eues sur le prix, ça a attenué le courroux du Dieu des soldes.
    Tout ça pour dire : pardon les gens qui avez été bien emmerdé par le temps pourri qui s'est déchainé d'un coup sur Grenoble, pardon à ceux qui se sont pris des branches sur le coin de la gueule, pardon à ceux qui eux se sont bel et bien fait éclabousser par une bagnole : tout ça est de ma faute....
    et de celle du maillot aussi quand même.
    Comme quoi, il faut pas offenser le Dieu des soldes qui visiblement tient vraiment à que t'en chie avant de trouver ce que tu veux...

    *Oui, des fois j'aime bien en faire des tonnes, mais je vous 'merde.
  • 01 juillet 2005

    Roman Photo

    Alors bon, j'ai un autre post sur le feu que j'ai commencé en début de soirée mais vu que je l'ai fait pendant le marathon guimauve (que je suis toujours en train de faire sauf que là ça y est : J'AI FAIT LES 100 ! APPLAUSE !) et qu'à un moment je saturais trop pour écrire et subir cette musique, je le terminerai demain. Ca raconte ma sortie en ville avec maman d'hier, et c'est très bien.
    En attendant, je vous file un roman photo de la soirée pétasse que j'ai fait à l'instant pour concentrer mon attention sur autre chose que le bêlements de Julien Clerc et ainsi survivre.
    Je vous présente donc une oeuvre sans précédent :
    Anais et la pâte à quiche !!

    Image hébérgée par hiboox.com